Déclaration CGT : Les agents, mais aussi leurs représentants du personnel, se posent la question de ce qui se passe actuellement à l’AFPA.
Pourquoi, 2 moi s après la date butoir des 4 mois d’info consultation auprès des IRP, le PSE n’est-il pas déposé à la DIRECCTE ?
D’ailleurs, quel PSE va être déposé, alors que le nombre de fermetures de centre et donc de licenciés a changé ?
Quels sont les projets alternatifs retenus ou ceux qui n’en sont qu’à la réflexion ? Combien de salariés sont maintenus dans les centres qui ne ferment pas ? Tous ou une partie seulement du personnel ?
Le bruit court que ce ne serait plus les mêmes agents qui seraient concernés maintenant par le PSE. Alors ce serait qui : les séniors, les formateurs sans activité, l’encadrement, les services d’appui, d’autres ?
Bref, plus c’est long, moins nous en savons !
Par contre, quelle inhumanité par rapport aux agents qui ont été ciblés dans le premier PSE. Ils ont été montrés du doigt, après le calcul des points de priorité dans le meilleur des cas, ou simplement reçus par les directions des centres pour leur dire : « dans le livre 2, vous faites partie de la charrette ! Désolé, nous n’avons pas de solution pour vous ! Il faudra accepter des mobilités si vous ne voulez pas être licenciés ! Il faut accepter de travailler dans des conditions dégradées ! ».
Bref, le conditionnement a fait son chemin dans la tête des agents puisqu’environ 300 d’entre eux ont déjà quitté l’AFPA sans demander leur reste. Encore un peu de pression et les 300 autres agents vont partir tous seuls, ne supportant plus l’angoisse, la dégradation des conditions de travail et la baisse de la qualité du service rendu auprès des bénéficiaires.
Les directions nous répètent que tout va bien. Les agents disent que leur quotidien est pire de jour en jour. C’est au pays des aveugles que les borgnes sont rois.
Et le Centre de Rillieux ?
Mme PERNOD BEAUDON vice-Présidente de la Formation Professionnelle du CONSEIL RÉGIONAL a répondu à une interpellation d’élus RÉGIONAUX sur l’éventualité d’une fermeture du centre de RILLIEUX, par un courrier daté du 13 mars 2019.
Elle fait savoir qu’ils s’opposeront à la fermeture des centres en territoires ruraux et annonce que la DR AFPA leur a fait une proposition alternative lors de leur rencontre du 14 janvier qui sauvegarderait 3 des centres en question. Quels sont-ils ?
Nous n’avons pas obtenu cette information en séance du CRE.
Le DR répond que ce sont les centres du Puy, Aurillac et Roanne.
Mme PERNOD BEAUDON annonce aussi qu’ils défendront le maintien du centre de Rillieux. De fait, ce Centre rentrerait dans le plan d’urgence porté par M. WAUQUIEZ ?
Que comptez-vous faire pour répondre à cette nouvelle demande du CONSEIL RÉGIONAL AURA ?
Le DR va prendre le temps d’étudier ce courrier pour répondre à cette nouvelle attente du CONSEIL RÉGIONAL.
La suite du CRE :
Réponse sur l’appel d’offres de PE sur la mesure PIC
Évolution du dispositif
Points sur les marchés : 100 % Inclusion
Déclaration CGT sur le budget 2018 des ASC
Etc.
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