L’Afpaïenne n° 19 d’octobre 2023
Bulletin d’information des retraités de l’AFPA…

PRENDRE EN MAIN NOTRE AVENIR

La rentrée se présente dans un contexte mondial et national très inquiétant.

Face à la multiplication des conflits meurtriers et à la progression des idées d’extrême droite, réactionnaires, fascistes et conservatrices de l’ordre établi, oeuvrons pour que la PAIX regagne du terrain, et que les peuples puissent pleinement exercer leurs droits à déterminer leur avenir.

Devant les catastrophes naturelles (Maroc, etc.), face aux terribles méfaits engendrés par le dérèglement climatique (Libye, Grèce, Canada, Asie, etc.) qui frappent le plus souvent les plus défavorisés, agissons pour développer la justice environnementale.

Face à un président et un gouvernement autoritaires, sécuritaires, destructeurs et méprisants, face aux violences policières et aux entraves au droit de manifester, face aux lois et aux mesures injustes et injustifiées (réforme des retraites, assurance chômage, etc.), battons-nous pour que progresse la justice sociale : mobilisons-nous le 13 octobre prochain contre l’austérité, pour la revalorisation des salaires et des pensions et la défense des services publics.

Face à un pouvoir politique qui prépare la mise en place de « France Travail », face à l’AFPA confrontée à de graves difficultés financières, à des missions de formation de moins en moins qualifiantes, à la précarisation des emplois et à des conditions de travail de plus en plus dégradées, lors des prochaines élections professionnelles, donnons à la CGT la force nécessaire pour représenter et défendre tous les salariés sans distinction de statut et pour améliorer leur cadre de travail.

Construisons une rentrée sociale offensive pour reprendre en main notre avenir ! Bonne lecture

ONZE VOYAGES ET COMBATS D’ ALBERT

Albert, militant vieillissant, raconte ses voyages engagés, à Cuba, au Nicaragua, en Algérie, aux États-Unis, en Guadeloupe, et aussi ses aventures professionnelles de formateur pour adultes avec quelques réflexions sur le présent qui s’achève.

Outre une qualité éditoriale discutable, cet ouvrage est une véritable richesse par ses témoignages directs. Il en est deux notamment, qui viennent bousculer les clichés médiatiques habituellement véhiculés :

  • le rôle décisif joué par les appelés du contingent dans l’échec de la tentative de putsch de 1961 en Algérie,
  • les conditions de vie à Cuba, sous blocus américain depuis plus de 60 ans.

Un ouvrage écrit sous forme de 11 récits, en surimpression d’analyses sociales et politiques. Comme autant d’adieux aux armes.

L’auteur : Daniel Maury

LE LIVRE EST DISPONIBLE SUR COMMANDE DANS TOUTES LES BONNES LIBRAIRIES

Film de Jamila Jendari et Nicolas Beirnaert

En 2011, les ouvriers de Ford à Blanquefort sauvent leur usine et ses mille emplois. La joie de la victoire laisse rapidement place à de nouvelles craintes de fermeture. Celles-ci finissent par devenir une réalité, jusqu’à l’arrêt définitif des chaînes de montage en 2020. “Il nous reste la colère” retrace leur dernière année de combat, dressant le portrait d’un groupe emmené par Philippe Poutou.

Confrontés à l’inflexibilité de la multinationale, aux hypocrites atermoiements du gouvernement, les Ford semblent mener un combat perdu d’avance. Cela n’empêche pas le film de brosser un admirable portrait de groupe qui interroge les ressorts, les modalités et le sens des luttes dans une société menacée d’anomie (Télérama)

FRANCE TRAVAIL
et les arrière-pensées gouvernementales

Le gouvernement veut faire évoluer l’actuel service public de l’emploi en regroupant plusieurs réseaux qu’il nommera France TRAVAIL. Il considère que par cette mise en commun, ce nouveau réseau permettrait d’être plus efficace pour atteindre le seuil recherché par M. MACRON de 5% de chômeurs. Il se cache derrière un discours qui culpabilise les demandeurs d’emploi, leur faisant croire qu’ils sont les seuls responsables de leur chômage, puisque les employeurs connaissent de grosses difficultés de recrutement.

Pour la CGT, un tout autre objectif est recherché et trois dérives se dessinent avec ce nouveau projet de loi :

1) Obliger les chômeurs à prendre les emplois dont personne ne veut.
Le gouvernement veut obliger les chômeurs à accepter les emplois non pourvus des secteurs dits “en tension” ; vacants du fait des mauvaises conditions de travail et d’hébergement, des contraintes physiques qui usent prématurément, de l’absence de développement de carrière et de peu d’évolutions salariales. Ainsi les entreprises n’auraient pas besoin de remédier à ces difficultés et continueraient à exploiter ses salariés.

2) Pousser les Demandeurs d’Emploi vers la misère s’ils ne se plient pas à leur volonté.
Le gouvernement entend conditionner le versement du RSA à un parcours d’accompagnement intensif comprenant 15h d’activité hebdomadaire sur le modèle du Contrat d’Engagement Jeune. Ce conditionnement aurait pour conséquence, en cas de non-respect, de priver des familles entières du minimum de ressources pour survivre.
De plus, en inscrivant obligatoirement tous les demandeurs d’emploi sur les listes de France Travail, ils veulent “fliquer” ces salariés et utiliser les données pour mieux les contraindre.

3) Introduire et renforcer les opérateurs privés.
Le gouvernement a trouvé un moyen pour ouvrir la porte du SPE (et entre autres PÔLES EMPLOI que Le MEDEF réclamait depuis longtemps) au privé et aux entreprises ainsi qu’aux agences d’intérim en les inscrivant dans les opérateurs directs.
L’objectif visé : ceux-ci décident de la liste des emplois en tension et ainsi imposent à une main-d’œuvre corvéable d’être assujettie aux seuls besoins du patronat.
Ce n’est pas une loi sans risque, au contraire, c’est une fois encore, le tout pouvoir aux entreprises ! Ceux-ci gangrènent tous les lieux de décisions et imposent leurs volontés. Macron est aux ordres des riches et fait établir des lois qui leur donnent les mains libres.

Extrait de la chanson « ADULTE JAMAIS » de Grand Corps Malade et Marc Lavoine

♫♫♫

  • Je penserai toujours que les qualités d’un homme
  • Brillent bien plus souvent dans la marge que dans la norme
  • Qu’un gros compte en banque ne donne raison à personne
  • Que c’est jamais les plus grandes gueules qui m’impressionnent

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  • J’aimerai toujours les écorchés, les rebelles, les bizarres
  • J’pourrais vivre sans ma banlieue, mais pas sans mes banlieusards
  • J’me méfierai toujours des vedettes et des stars
  • Et d’un monde dirigé par des mecs en costards

♫♫♫

  • Je n’lâcherai pas les idées
  • De la classe ouvrière
  • De ceux qui ont résisté
  • Qui se sont crevés pendant la guerre

♫♫♫

La CGT-Afpa vous souhaite une excellente rentrée

Cet été aura été marqué une nouvelle fois par des records de chaleur sur tout le territoire. La rentrée 2023 sera de nouveau l’occasion d’alerter notre direction sur l’urgence des actions que nous devons mener à tous les niveaux pour faire face à cette crise écologique majeure et à ses conséquences. La rénovation et l’isolation de nos bâtiments vétustes doivent être une priorité afin d’assurer aux salariés et aux stagiaires des conditions de travail normales.

Au 9 ème mois d’une année 2023 déjà très riche en termes de négociations de nouveaux droits à l’AFPA, la CGT a participé à l’ensemble des réunions de négociations et a signé plusieurs accords, dont celui en faveur des personnes en situation de handicap au sein de l’Afpa, mais aussi celui sur l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle qui prend en compte les évolutions sociétales et améliore les droits des salariés.
La ligne conductrice de la CGT est claire : représenter et défendre tous les salarié·e·s sans distinction de statut afin d’acquérir de nouveaux droits, d’améliorer ceux qui existent et de s’opposer fermement aux inégalités et aux injustices.

Plusieurs négociations, et non des moindres, restent toutefois à mener d’ici la fin de l’année :

  • La NAO (Négociation Annuelle Obligatoire) partie rémunération, qui n’a pas pu aboutir avant la trêve estivale. L’arbitrage des tutelles, sur les mesures que la direction a présentées aux organisations syndicales le 10 juillet, n’étant pas encore connu à la date de l’écriture de ces lignes (un probable blocage des tutelles).
  • Les Élections professionnelles (prévues fin novembre début décembre 2023), qui sont un enjeu majeur de démocratie au sein de notre entreprise, mais aussi un moment important de l’activité syndicale.

Pourquoi c’est important : les élections professionnelles détermineront la représentativité des syndicats et leurs moyens pour agir.

Pour la CGT, c’est AGIR en défendant l’intérêt général, c’est AGIR pour défendre tous les salarié·e·s quelle que soit leur catégorie professionnelle et leur type de contrat (CDD, CDI, contrat en alternance, etc.), c’est AGIR pour défendre notre outil de travail, c’est AGIR pour défendre nos revendications (pouvoir d’achat, conditions de travail, égalité professionnelle, etc.).

Bonne rentrée !

Une baisse des budgets formation des demandeurs d’emploi en 2024 ?

Les informations récentes montrent l’intention du gouvernement de réduire les financements dédiés à la formation des demandeurs d’emploi (entre autres), sous prétexte de baisse du chômage. Le Plan d’investissement dans les Compétences (PIC) qui devrait prendre fin en décembre 2023 était évalué à 2,5 milliards d’euros.
Les régions de France, par les voix de M. Bonneau, président Centre-Val de Loire et Mme Delga, présidente de la région Occitanie, dans un courrier en date du 7 juillet 2023, plaident pour un maintien de ce niveau de financement et elles indiquent que l’indécision de l’Etat quant à sa contribution pénaliserait de manière “catastrophique les demandeurs d’emplois, à commencer par les personnes les plus éloignées du marché du travail (…)”.

En réponse à cette demande de stabilisation de budget du futur PIC, Élisabeth Borne dans un entretien avec BFM fin juillet, juge “logique de faire des économies” sur la formation des demandeurs d’emploi et les contrats aidés, justifiant ce choix par la diminution du chômage.

Coté Conseils Régionaux, les présidents menacent de ne pas valider leur accord de principe pour que leurs collectivités respectives continuent de participer au cofinancement du PIC qui doit prendre fin en décembre 2023 (Sources AEF – publié le 27 juillet 2023).

Pour l’Afpa, si cette diminution de budget alloué pour le prochain PIC 2024-2027 se confirme, cela pourrait être très difficile avec de nouvelles pertes sur l’activité formation avec les Conseils Régionaux qui est déjà en diminution constante ces dernières années.

Et la retraite dans tout ça ?

On n’en parle plus ?

Malgré une mobilisation d’une durée et d’un niveau record, la réforme des retraites est adoptée avec un passage en force au mépris de la quasi-totalité de la population et en faisant fi de notre démocratie.

Pour la CGT le match et la lutte ne sont pas terminés. Nous sommes dans une période dite de temps long après les différents passages devant les institutions.

Mais d’ores et déjà, la mobilisation se remet en route dès cet automne avec une grande journée d’action (européenne et intersyndicale) prévue le 13 octobre contre l’austérité, pour nos salaires, nos retraites et nos services publics.

Urgent, avant qu’il ne soit trop tard…

Les années se suivent et malheureusement se ressemblent, l’urgence climatique n’a jamais été aussi forte : sécheresses, canicules et record de chaleur pour cette fin d’été, précipitations violentes, feux de forêt… nos modes de production et de consommation doivent urgemment évoluer avant qu’il ne soit trop tard.

Répondre aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs, c’est lier justice sociale et environnementale.

En relocalisant la production, le développement des circuits courts et l’économie véritablement circulaire, en produisant des objets durables, réparables, interconnectables, il est possible de lier le progrès social et environnemental.

La CGT AFPA est convaincue que la crise écologique globale que nous traversons doit être l’occasion de transformer en profondeur notre modèle économique et social. Et nous sommes convaincus qu’un établissement public tel que le nôtre peut et doit contribuer à relever les défis de cette crise écologique, grâce à sa capacité à accompagner les mutations du travail et des métiers sur le territoire. La formation professionnelle continue sera une des clés de voûte pour réussir ces transformations majeures.

ILS VIVENT DANS NOS MÉMOIRES

Plusieurs camarades nous ont quittés ces derniers mois :

Le 24 mars, Antonio CAMPO, ingénieur de formation au CPTA de Vénissieux et fidèle camarade CGT pendant toute sa vie professionnelle.

Le 8 juillet, Véronique DROUIN, psychologue à Chartres, plusieurs fois Déléguée du Personnel. La section syndicale l’a défendue et soutenue lors de conflits locaux. À la suppression des services Psycho de l’AFPA, elle décida de rester à l’AFPA. Je suis très touché par son décès. On dit toujours au décès d’une personne que c’était quelqu’un de bien, mais c’était vraiment la réalité (Christian Houel).

Le 19 juillet, Gilbert LEGROS, à l’âge de 74 ans. C’est une très triste nouvelle. Je garde de Gilbert le souvenir d’un militant convaincu, intègre, fraternel, amical, qui a joué un rôle important dans la région, quelqu’un surtout de très attachant (Jacques Coudsi).

Le Bureau National des Retraités adresse toute sa solidarité à leurs familles.

Les CARIF-OREF (CO)

(Centres d’Animation Ressources d’Information sur la Formation – Observatoires Régionaux Emploi Formation)

sont coordonnés et animés nationalement par le RCO (Réseau des CARIF-OREF). Leurs missions définies par un décret paru au JO du 23 juin 2021 sont les suivantes :

1. Collecter des informations relatives à l’offre de formation : apprentissage, offre de formation professionnelle continue pour les personnes sans emploi (DE ou non) dont les stages de l’AFPA.

2. Analyser les informations et données relatives aux modalités d’accès à la formation et aux rapports entre la formation et l’emploi au niveau régional :

  • évolutions de l’emploi, de la formation, de l’orientation et de l’insertion professionnels
  • besoins en compétences, en qualifications et en acquis de l’expérience
  • les caractéristiques des organismes de formation et la situation socio-économique du territoire

3. Animer et accompagner au niveau régional la professionnalisation des acteurs et opérateurs dans le domaine EFOP, dont la veille sur les outils d’innovations technologiques et pédagogiques

4. Mettre en oeuvre toute autre action en matière d’information sur l’offre de Formation (État/CR ou RCO).

Le financement des CARIF-OREF est assuré par le Conseil Régional et l’État/DREETS, par le biais de conventions, annuelles ou pluriannuelles (pluriannuelle en Bourgogne-Franche-Comté).

LA CGT ET LES CARIF-OREF

La CGT et Les CARIF-OREF acteurs importants de la Formation Professionnelle en région

Le mode de financement par des conventions renouvelables, annuellement pour certains CARIF-OREF, entraîne une fragilité évidente pour ce type de structure. C’est le cas pour le CARIF-OREF d’Île-de-France qui a été mis en liquidation judiciaire, le Conseil Régional IDF ayant refusé de renouveler la convention annuelle existante.

La présence d’administrateurs CGT est importante pour assurer la préservation de ce Service Public dans le champ de la Formation. Les retraités CGT AFPA, comme en Bourgogne-Franche-Comté, AURA, ou encore Hauts de France, prennent leur part dans la représentation CGT auprès de ce type d’institutions.

Même si la place des OS est très congrue, la CGT prend toute sa place dans les instances d’EMFOR (Emploi, Formation, Orientation), ne serait-ce que pour défendre les intérêts de ses salariés en relais avec les représentants syndicaux internes. En région BFC, la coopération excellente avec la déléguée syndicale CGT EMFOR a permis notamment de défendre les acquis des salariés lors de la fusion Bourgogne/Franche-Comté, et lors des présentations budgétaires, d’exiger des revalorisations salariales nécessaires, alors que le point d’indice était toujours bloqué… Par ailleurs, la possibilité d’intervenir dans les orientations données à EMFOR est importante, par exemple pour les enquêtes/analyses commanditées par le Conseil Régional et/ou les représentants de l’État ; et également d’avoir accès aux données de ces enquêtes, pour les relayer au sein du Comité régional CGT.

Place de la CGT dans cet Organisme

Pour concrétiser le fonctionnement de cette instance, la région, Bourgogne-Franche-Comté, où un retraité CGT AFPA représente la CGT, servira d’exemple. Dans cette région, le CARIF-OREF, dénommé EMFOR (Emploi, Formation, Orientation) a été constitué sous forme de GIP (Groupement d’Intérêt Public), avec les instances de gouvernance suivantes :

 

  • Une AG constituée des représentants de l’Etat (35% des pouvoirs de vote), du Conseil régional (35% des pouvoirs de vote), des 5 OS salariés (10% des pouvoirs de vote), des 3 Organisations patronales (10% des pouvoirs de vote), et de personnalités qualifiées/organismes associés (Rectorat, APEC, PE, …) (10% restants).
  • Un bureau comprenant entre autres un titulaire et un suppléant pour les 5 OS représentatives des salariés. Actuellement, la CGT représente les OS au bureau.

Le Conseil Régional et l’État assurent à tour de rôle la présidence (actuellement la vice-présidente du CR).

ÉCHOS DES RÉGIONS

En Auvergne-Rhône-Alpes

Deux rencontres (Rhône-Auvergne et Isère/Pays de Savoie) ont été organisées au printemps 2023.

Le 26 avril, 9 camarades CGT retraités AFPA du couloir rhodanien et de l’Auvergne se sont réunis à Givors chez une jeune retraitée, autour d’un succulent repas partagé, et ont souhaité à Roger et Anne Marie LARGE un prompt rétablissement en espérant les retrouver vite.

Nous avons profité de ces retrouvailles pour aborder tous les sujets d’actualité : la situation sociale, la réforme de la retraite et la manifestation du 1er mai 2023. la situation actuelle de l’AFPA et la dérive de ses activités, le devenir de la formation professionnelle et la création de France TRAVAIL, le congrès confédéral CGT, notre section syndicale et les cotisations, etc. Tout le monde a apprécié ce bon moment de convivialité et d’échanges fraternels. Cela nous a donné envie à tous de renouveler ce moment à la fin de l’automne ; vivement !!!!

Le 2 juin à Claix, 7 camarades ont passé un chouette moment sympathique et en bonne compagnie. Les retrouvailles étaient tellement émouvantes après des années sans se voir pour certains. Les liens d’amitié se sont consolidés.

Nous avons échangé sur de multiples sujets : les actualités syndicales (congrès confédéral et congrès de la FERC, cotisations. Assemblée des syndiqués AURA le 22 juin…), l’évolution de l’AFPA et les futures élections professionnelles, les conditions de nos retraites, la bataille pour l’abrogation de la réforme des retraites (manifestation du 6 juin prochain), etc.

Nous n’avons pas vu défiler le temps et nous attendons avec impatience les futures rencontres d’automne.

Notre devise : quand on est CGT, on n’est jamais seul !!!

En Bourgogne-Franche-Comté

Plusieurs retraités se sont retrouvés pour un après-midi festif et convivial à Champagnole, chez Martine et Lionel CORTE, le 26 mai.

Le secrétaire régional CGT AFPA BFC participait également à cette sortie et s’est chargé de l’animation musicale !

 

Montreuil, le 4 septembre 2023